Quand j’ai débuté dans le service de géronto-psychiatrie de l’hôpital
psychiatrique, j’ai pu intégrer en parallèle l’association des
psychologues en gérontologie du Poitou Charentes. Cette association qui
regroupe des pairs pratiquant auprès de personnes âgées proposait,
entre autres, des temps d’échanges cliniques et théoriques spécifiques
à cette pratique. Dans un de ces groupes, nous avons pu, lors de
rencontres mensuelles, aborder des situations cliniques et au fil des
années, nous avons souhaités travailler en choisissant un thème qui
serait le fil rouge des échanges. C’est donc le travail d’une année que
je me propose de retranscrire ici. Il s’agit d’échanges et de
réflexions partagés, de tentatives de mise en lien. Vous remarquerez
donc l’aspect certainement un peu fouillis de cette présentation et le
manque de méthodologie groupale.
En 2015, j’ai commencé à intervenir dans un service de «
géronto-psychiatrie » maintenant intitulé, « psychiatrie de la personne
âgée » qui accueille des personnes de plus de 75 ans présentant des
troubles psychiatriques, que ce soit des pathologies anciennes sur des
patients vieillissants ou des manifestations récentes de souffrances.
Dès le début de ma prise de poste, j’ai été interpellée par la
prévalence des références à la sphère économique. Tout d’abord j’ai été
marquée par l’importance de la situation financière dans la préparation
des projets. L’aspect économique intervient très rapidement dans la
réflexion sur le projet et sa faisabilité, de manière qui
m’apparaissait plus prégnante que cela m’avait été donné à voir pour
l’accompagnement de patients plus jeunes en service de psychiatrie. Il
fallait « faire le point » sur la situation économique, les comptes,
les économies, la propriété de maison, le nombre d’enfants, leur
solvabilité, les aides déjà en cours, le type de mutuelles,
d’assurances... Le financement de la vie allait être un facteur de
choix dans le projet de soin et de vie.
Mais j’ai également été interpellée sur le plan clinique. Dans les
motifs d’hospitalisation et dans les rencontres avec les personnes
hospitalisées, le thème de l’argent apparaissait plus fréquemment. On
observe des symptômes comme l’anxiété majeure quant au financement de
l’avenir qui s’accentue du fait de l’hospitalisation car celle-ci est
souvent perçue comme une rupture dans un quotidien qui ne reviendra
pas, comme une culpabilité forte d’être une charge pour son entourage.
Mais on voit également s'exprimer des idées délirantes de ruine ou de
spoliation portant sur les maisons et sur les « comptes ». Dans l’unité
de psychiatrie de la personne âgée, nous prenons place à un moment de
crise, de rupture, où les enjeux sont aigus, mais en échangeant avec
des collègues travaillant en EHPAD, même si souvent alors la réflexion
économique sur l’accueil en EHPAD est déjà entamée ou réglée, la
référence à l’aspect financier, à l’aspect charge économique est
également présent dans le discours des personnes.
Dans le groupe d’échange et de travail que je vous ai présenté, nous
avons donc eu envie de nous pencher sur cette remarque et de voir
quelles questions cela nous posaient. Et la formule qui a émergé, sous
une forme un peu provocante, mi interrogative, mi-exclamative fut «
qu’est-ce que coûte un vieux ?! ».
Nous n’avions pas réellement d’hypothèses de travail mais plutôt une
envie d’explorer différentes réflexions que nous avions à disposition
dans notre clinique. Ainsi, à travers les différents échanges que nous
avons eu autour de ce « coût de vieux », nous avons abordé l’aspect
sociologique de la représentation de la personne âgée, puis les effets
dans la famille, et enfin chez la personne âgée.
• La représentation du vieillir dans la société
Il y a peu de représentations médiatiques de la personne âgée (comme
beaucoup de minorité).
Qu’est ce qu’il y a comme vieux à l’écran? Line Renaud, Dumbeldore ou
le couple de scènes de ménage... Indépendants, autonomes, sans problème
financier. L'âge ne se verrait presque pas parce que « l'âge c'est dans
la tête ».
Il n'y a peu de représentations de l'âgé qui n'aurait pas respecté
l'injonction du « bien vieillir ».
Ainsi on a une représentation de ce qu'est un grand-parent, davantage
super-mamie que mamie Nova, mais il existe peu de représentation
partageable de ce qu'est un « arrière grand-parent ». De ce que cela
supporte comme fonction, comme place dans la famille. Qu'est ce qu'un «
âgé » dans la famille dès lors qu'il n'est plus si fringuant et qu'il
approche des 80 ans ?
Sans aller bien loin, on peut repérer que la représentation sociale de
l’âgé renvoie davantage à l’idée d’un coût économique que d’une
ressource ou une richesse. Un vieux coûte cher à la sécu et à la
société. Cet aspect coûteux nous semblait davantage s'exprimer à haute
voix que pour d’autres types de populations qui pourtant pourrait être
porteur d’autant de représentation de dépendance comme l'enfant par
exemple, qui est quand même grandement immature et impotent. Le coût
supporté ne porterait donc pas sur la même chose ?
Nous pouvons nous interroger sur les effets, premièrement d’une logique
moderne où c'est la vitesse du flux, la vitesse de traitement au quart
de millième de seconde qui produit de la richesse et non plus la
capitalisation de matériels, de savoirs.
L'âgé n'est donc plus riche de son savoir, de ses expériences, qu'à
l'heure de Google tout le monde a l'impression de pouvoir avoir, mais
incapable de traiter prestement le déferlement de données. L'âgé
ralentit donc, il n'a pas la côte, ce n'est pas un investissement
d'avenir, contrairement aux enfants. Le coût paraît donc plus élevé.
Parallèlement on entend parler de la « silver economie », mais où la
personne âgée est objet cible mais n’est pas porteur de valeur
investissable narcissiquement. Quand voit-on des personnes âgées dans
les publicités ? Que cherche t-on à vendre à ce nouveau « segment
marketing » : protection contre les fuites urinaires, monte escalier,
appareils auditifs, ce qui permet de maintenir son
statut/autonomie/image narcissique. Alors que pour les croisières ce
sont toujours de belles jeunes femmes qui sont au premier plan et que
les voitures sont conduites par de fringants trentenaires.
Vieillir dans la représentation sociale, c’est donc perdre un statut
social, perdre de la valeur productive et presque perdre un statut de
sujet. Le discours de l’autre tendrait à faire disparaître, la
possibilité d’un discours de l’âgé qui soit possiblement celui d’un
sujet.
Donc on reste jeune ou l’on devient un objet mais « vieux » n’offre que
peu de représentations investissables narcissiquement. Ce qui fait dire
à beaucoup de soignants, l’air de rien que « il ne faudrait pas
vieillir. »
Et on peut supposer qu’il faut mobiliser beaucoup de ressources
psychiques pour lutter contre l’effet de ses représentations. D’autant
que l’on sait l’effet golem (inverse de l’effet pygmalion) de ce type
de représentation. Vieillir ne ferait que coûter.
• Qu'en est-il alors au sein de la famille ?
Vieillir est un phénomène naturel, de l’usage du temps sur le corps et
sur la vie. Or on sait que l’inconscient n’a pas de temps. L’attaque du
corps n’est pas perçue comme un processus linéaire et logique mais
comme une attaque, une destructivité qui apparaît aux sujets par à
coup, parfois par traumatisme (chute, accident, maladie).
Le vieillir est donc souvent perçu comme une défaite, là où l’illusion
névrotique nous fait penser « on sait bien qu’on va vieillir...mais
quand même ».
Cette désillusion est également en œuvre sur le plan familial, dans les
liens filiaux. Au début, c'est l'enfant qui grandit, pas le parent qui
vieillit.
Comme l’inconscient, les imagos parentaux ne sont pas soumis à la
temporalité. L’écart entre les images parentales intériorisées et
celles du parent réel pourraient donc être la source d’une
conflictualité psychique (et donc d’un coût économique – libidinal).
Le parent, « son » parent vieillit et peut ne plus être la figure
(protectrice) structurante antérieure et réactiver alors des mouvements
défensifs contre la révélation que cet autre est aussi manquant,
faillible, n'est pas garant de tout.
Cette régression imaginaire pourrait être à l’origine d’une
réactivation œdipienne où l’impuissance fonctionnelle de l’enfant (qui
le faisait céder/esquiver devant la puissance paternelle) n’est plus
présente. Si cela n'a pas pu être élaboré auparavant, l’enfant, devenu
grand, pourrait alors vivre sa toute puissance (comme on peut le voir
dans les institutions où les enfants peuvent avoir des velléités de
contrôle des activités du parents, de maîtrise de leur vie affective).
Ainsi selon l'histoire infantile des enfants et le déroulement de leur
conflit œdipien, le regard sur l’adulte âgé, leur parent, va être
différent. Le « coût de vieux » est aussi celui d'une réactivation,
d'une réinterprétation du conflit œdipien pour les membres de la
famille qui peut alors être porté, supporté par le rapport à l'argent.
La relation filiale parent/enfant se trouve ainsi bousculé. C'est le
parent qui donne à l'enfant. Et celui-ci va peut-être se retrouver en
état d'avoir besoin, et peut être de demander. Il y avait
antérieurement un sens d'échange qui se trouve inversé.
L'argent prend alors cette place dans la symbolique de l’échange.
Ce remaniement de la dynamique d'échanges va reprendre des aspects
économiques de la relation passée au parent et va canaliser les
tensions entre agressivité et réparation.
Au sein de la famille, accompagner son parent vieillissant est coûteux
psychiquement, ce qui va souvent être porté, représenté par le rapport
à l’argent et les frais que la mise en institution (ou le seul besoin
d’aide au quotidien) peut générer.
L'argent intervient comme un règlement de comptes : est-ce possible de
payer ? Qui va payer ? Va-t-on vendre la maison familiale ? D'autant
qu'il est socialement considéré comme « automatique » que la famille
soit un « aidant naturel » et que les enjeux relationnels, psychiques
soient peu exprimables à ce moment.
Entrent en jeu les relations et places dans la fratrie, la relation de
l'âgé avec les différents membres de la famille... Négociations parfois
impossibles entre une réalité matérielle (le coût effectif des EHPAD)
et des réalités psychiques.
Les exemples cliniques sont nombreux des aménagements familiaux qui
montre bien qu'il ne s'agit pas (que) de logique économique : celui qui
donne du temps, celui qui donne de l'argent, celui qui donne « trop »...
Mme J qui veut aller en institution mais dont la fille trouve que c'est
trop coûteux et la garde à domicile au prix de nombreux conflits et de
réactivation de vécu persécutif pour Mme J, certes délirant, mais qui
indique le coût à payer est celui d'une séparation difficile, très/trop
coûteuse ; Mme No veut rentrer chez elle, mais que la fille veut
envoyer en institution parce qu'elle pourrait tomber alors que cela
n'est jamais arrivé, la famille est d'accord de payer une protection
imaginaire contre certaines projections inquiétantes... ce qui paraît «
logique ne l'est peut-être pas tant que ça»
Au-delà de ces repérages que nous avons pu partager, nous avons soulevé
différents questionnements, certainement fantasmatiques, à propos des
échanges dons/dettes devant lesquels nous nous sommes arrêtés sans
aller plus loin, peut-être que la charge mortifère y était trop
prégnante ?:
Enfants, nous arrivons sur Terre en dette de l'Autre, dette de vie,
dette de sens. Ce sont nos aînés qui nous l'ont transmis, mais qu'il
faut une dose d'ingratitude pour continuer à avancer :
Que ce passe-t-il quand les enfants donnent aux parents ?
Rembourse-t-on une dette ? L'épurons-nous ? Serions-nous alors sans
dette ?
Prenons-nous sur le « capital » que nous devons à nos descendants ?
Va-t-on être « à sec » ?
Se confronter au vieillissement de l'autre est effectivement
psychiquement coûteux,
– cela attaque nos illusions névrotiques d'immortalité
– cela remet en jeu notre économie œdipienne
– cela interroge notre rapport à la dette à l'autre...
Et en plus c'est un chemin que nous ne connaissons pas, qui reste à
venir. Ce chemin c'est celui qu'emprunte ceux qui sont vieux et qui ont
été à notre place auparavant. Ils passent alors de « l'autre côté »,
tout en étant déjà conscient qu'un vieux ça coûte.
• Le vécu du vieillir chez le sujet
Le sujet qui avance dans le vieillissement se trouve, à mon sens,
confronté à une crise, plus ou moins forte selon les contingences
corporelles ou matérielles. Car il s'agit d'une étape de bouleversement
dans l'économie psychique du sujet, étape qui arrive par « a-coup » sur
le plan social, narcissique. Mais c'est une crise qui me semble encore
difficile à entendre du point de vue subjectif de l'âgé :
– Peut être parce que les « vieux » actuels n'ont pas encore une «
culture » de la parole ou de l'intérêt pour leur vécu psychique et où
œuvre encore beaucoup de représentations autour de la détresse
psychique et beaucoup de non-dit concernant des événements historiques
(je pense à la guerre d'Algérie par exemple).
– Peut-être du fait même que la senescence biologique pourrait avoir un
effet sur les contenants de pensée, sur la faculté même à contenir et à
transformer les contenus psychiques.
– Peut-être parce que cette crise, ils sont les premiers à la
traverser. La crise d'adolescence, ou la crise du milieu de vie, nous
(soignants, écoutants...) pouvons en savoir, en avoir vécu quelque
chose, alors que la crise du grand âge, nous est inconnue, peut être
impensable. (là c'est l'imaginaire du vieux sage qui est convoqué, lui
devrait avoir réglé tout cela et être exempt de toute angoisse).
– Et donc peut-être aussi parce que vieillir rapproche de l'impensable
de la mort. Et que ce rapprochement fait jouer des angoisses que
personne n'a vraiment envie de se coltiner.
Cela indique éventuellement que penser une crise de vieillir est
globalement difficile à entendre pour l'environnement et qu'il manque
d'étayage pour que cela puisse se conceptualiser et donc s'aborder :
c’est donc plus coûteux car avec peu de représentations.
Et le sujet lui-même est au cœur de tout cela.
On peut se mettre d'accord sur le constat que les deuils dans
l'entourage, les modifications corporelles, les modifications dans
l'organisation familiale, les pertes de statut social, demande un coût
psychique pour le sujet âgé.
Et je m'arrêterais un peu plus sur ce qui m'a été donné à voir dans la
clinique, notamment s'exprime par l'intermédiaire de l'argent et des
représentations associées à ce qu'il y a à payer.
Je travaille dans un service de psychiatrie de la personne âgée, il y a
donc d'emblée un biais dans la rencontre, mais travaillant également
dans un service d'adulte, j'ai été interpellée par la prévalence de ce
type de plainte, de ce « commerce » financier.
Ainsi je pense à Mme Mi qui ne veut pas payer d'aide à domicile, elle
veut bien d'un accompagnement, d'une présence mais cela elle ne veut
pas le monnayer. En quoi est-elle aimable ?
Monsieur X qui compte et recompte, persuadé qu'il n'aura jamais assez,
sans pouvoir cerner, nommer ce qu'il a à payer.
Madame H et sa véritable fuite d'eau dans son sous-sol qui a entraîné
des mouvements d'anxiété majeure car alors si on perd de l'argent sans
parfois s'en apercevoir comment pourra t'elle faire face à des coûts
supplémentaires qui pourraient arriver.
Et encore Monsieur T qui, bien que conscient de nécessiter un accueil
en structure d'hébergement, ne peut se résoudre à entamer des «
économies de toute une vie.» Économies qu'il conservait pour plus tard,
au cas où. Mais quand est-ce que cela commence ?
Ou encore les nombreuses expressions de persécution, de spoliation où
les enfants (assez souvent) sont accusés de voler l'argent ou des biens
précieux.
L'argent devient un rempart, un support majeur de projection qui donne
forme à beaucoup de difficultés à vivre les remaniements spécifiques au
grand âge. On entend à quel point, il peut venir régler ce qu'il en est
de la temporalité humaine, qu'est ce que c'est que le « plus tard »,
comment on peut faire face, avec quelles ressources à la représentation
de la dépendance ?
Les exemples que je cite sont ceux d'expressions pathologiques,
projection sur l'objet « argent » d'une souffrance intrapsychique mais,
comme nous l'avons évoqué à propos de la famille, pour le sujet âgé,
les échanges financiers vont également être source d’une conflictualité
un peu différente.
Le parent donne à l'enfant, don de vie, dette de vie. Mais dans ce
grand âge, quand le retour est attendu (au moins par la société qui a
légiféré dessus) dans quelle situation cela met le sujet ?
Les mêmes questions qui émergeaient à propos des enfants, pourraient
également avoir lieu : Si le sujet « récupère » de ses enfants, la
dette disparaît-elle, comment fonctionner ensuite avec les générations
futures ? Cela boucle t'il quelque chose de cette transmission ? Ce
bouclage deviendrait-il alors mortifère ? (Peut-on vivre sans dette,
sans le désir de l'autre) Le prix à payer pourrait-il être la métaphore
du désir de l'autre ? Le sujet se trouve t-il à prendre une place qui
n'est pas la sienne dans l'imaginaire de la transmission filiale ?
Certains patients sont ainsi en train de négocier avec eux-mêmes la
vente de la maison comment ne pas être à la charge des enfants. Et la
remarque est fréquente qu'il ne faut pas être « une charge pour les
enfants », qu'ils ont leur vie (comme si le parent n'était pas dans ce
chemin de vie). Solder sa vie sur le plan comptable pour ne pas peser
sur les générations futures… D’autant qu’étymologiquement payer
signifie « pacifier ». Collusion entre l’objet argent et les modalités
psychiques de la transmission, du rapport à l’autre (Autre?).
• Conclusion :
Le coût du vieillir nous a paru, pendant cette année de travail, assez
exorbitant (certainement aussi par ce que nous ne nous sommes pas
arrêtés sur les créations subjectives pour y trouver une solution).
Ce rapport au financier, à l'argent, même si l'on peut y entendre la
dimension projective de conflits psychiques, nous paraît également un
point important d'un « règlement » de différentes modalités dans la
crise du vieillir.
Vieillir coûte pour beaucoup dans le règlement de l'approche de la mort
(d'où la difficulté à y voir un investissement, ou à vouloir aller y
regarder) mais cela nous a également apparu comme un remaniement
complexe pour le sujet âgé dans ses organisateurs de l'ordre des
générations, de l’économie même de ses échanges avec ses proches et de
sa conception de la transmission et de sa demande d’amour.
Autant d'interrogations que nous n'avons pas suffisamment pu explorer
pendant cette année de rencontre groupale, mais qui nous a permis
d'entendre que le coût du vieillir était certainement au-delà de nos
représentations antérieures, qu'il y avait là peut être des pistes
cliniques qui restent à explorer.
- 1 Psychologue clinicienne, membre de l’ Association des
psychologues en gérontologie du Poitou-Charente, membre auditrice de l’
EPCO.
Bibliographie :
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- Hovasse-Prely, Elisabeth, et Philippe Moulin. « Quand l'argent monte
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- C. Joubert , « Le fantasme de parentalité inversée », Dialogue,
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- I. Reiss-Schimmel, la fonction symbolique de l’argent, Dialogue,
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-Van Hemelrijck, Jean. « De l'usage du temps qui passe au concept de
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- M. Vannotti, Échanges inter-générationnels et soins aux personnes
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